La colère...
Il y a forcément une limite, un tournant, un instant clef... un déclic, peut-être même le passage de l'enfant à l'age "dit adulte"...
J'ai pourant le sentiment que c'est arrivé sans crier gare
Le moment d'avant on combat la colère, c'est de l'éducation : l'enfant doit dominer ses pulsions,
Le moment d'après on subit cette foutue colère, c'est "l'apanage du mâle" : l'adulte s'autorise à gueuler... pour commencer la discussion en position de force, ca monte, ca se pique, ca se sent plus fort parce les décibels sont là...
La meilleure défense c'est l'attaque, surtout quand on soupçonne qu'on a tort !
Forcément çà marche... un temps... mais l'entourage s'use, se désabuse, se lasse, se saoule, se détache, se gave
Ca fait du bien de le dire,
je vis ce blog comme lieu de dépressurisation
à demi-mots.
Bonne journée !